Description :
L'architecte Dominique Perrault et la designer Gaëlle Lauriot-Prévost ont dessiné cette collection de luminaires à ce jour inédite, originale, inclassable, intemporelle et durable. La collection In The Tube est composée de modèles forts, figures libres et contraintes à la fois, déclinés en plusieurs versions de longueurs, diamètres et couleurs. Proposée en verre borosilicate, fermée de bouchons d’aluminium, capée de silicone ce qui permet de l'utiliser en extérieur comme en intérieur, avec colliers de fixation en acier inoxydable, sous forme de suspensions, rampes, appliques. In The Tube diffuse une lumière filtrée, adoucie, dirigée, orientée par le simple positionnement fixe ou amovible d’une maille-filtre façonnée ou d’un réflecteur, dont le matériau même « donne » la couleur. Acier inoxydable pour l'argenté, aluminium anodisé pour le cuivré et le doré. Cette collection de tubes méga-performants évoque des composants d’espionnage à la James Bond, ou des navettes à la Jules Verne.
Caractéristiques :
Tube : verre borosilicate
Bouchon étanche : silicone et fonte d'aluminum noirs
Collier ajustable : acier inoxydable
Réflecteur : aluminium et acier inoxydable
Sans mailles
Visserie inoxydable
Câble : caoutchouc noir
Coloris : aluminium blanc satin - pavillon blanc - intérieur blanc
Coloris : aluminium blanc satin - pavillon blanc - intérieur cuivré
Coloris : aluminium blanc satin - pavillon blanc - intérieur cuivré
Connexion box comprise dans le prix
IP64
Source :
Taille 1 et 2 : 2 ampoules E14 (non fournies)
Taille 3 : 4 ampoules E27 (non fournies)
Taille 4 : 6 ampoules E27 (non fournies)
Dimensions :
Taille 1 : 100-350mm x Diamètre : 100mm x Longueur : 370mm
Taille 2 : 100-500mm x Diamètre : 100mm x Longueur : 520mm
Taille 3 : 100-700mm x Diamètre : 120mm x Longueur : 720mm
Taille 4 : 120-1300mm x Diamètre : 120mm x Longueur : 1320mm
DOMINIQUE PERRAULT & GAËLLE LAURIOT-PRÉVOST
En 2008, l’architecte Dominique Perrault se livrait en onze mots. École. Rupture. Défiance. Vide. Mur. Terre. Land art. Site. Lieu. Bonheur. Maille. Un matériau souple doué de structure, dont la qualité est d’être et de ne pas être. Une matière rigoureuse et poétique, immatérielle et construite, dont l’architecte s’est emparé pour créer des géographies protectrices ou accueillantes, gérer des aires publiques ou privées et façonner la lumière naturelle et la lumière artificielle.
C’est cette maille que Dominique Perrault et Gaëlle Lauriot-Prévost ont captée, manipulée, façonnée, introduite et parfois greffée à l’intérieur-même des appareils d’éclairage pour créer les milliers de dispositifs inédits et puissants qui éclairent de jour comme de nuit la Bibliothèque Nationale de France. Protagoniste d’un conte moral et d’un contrat social dont il écrit chaque chapitre et chaque clause avec audace, intelligence et pragmatisme, Dominique Perrault est l’architecte de la figure, du sens, de la dynamique, du savoir, de l’énergie, bref, du contexte. Ses réalisations en interrogent tous les aspects.
Fondamentalement terrien avec juste ce qu’il faut d’ironie utopique subtile, phénoménaliste de la matière et du vide, Dominique Perrault est une figure de l’architecture dont les réalisations balisent le territoire européen (notamment Vélodrome et piscine olympique de Berlin, extension de la Cour de justice du Luxembourg, aménagement de la Piazza Garibaldi à Naples, DC Towers à Vienne, Teaching Bridge de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne) et l’espace asiatique (Campus de l’université Ewha à Séoul et tour Fukoku à Osaka).
Un homme médiatiquement effacé à dessein et dont l’hédonisme conceptuel se double d’enthousiasme et de malice. La signature de Dominique Perrault est une rareté. Celle qu’il appose avec Gaëlle Lauriot-Prévost sur les collections IN THE TUBE, IN THE TUBE 360° et IN THE SUN est donc un évènement. Mieux, une mise-en lumière réfléchie, une approche filtrée de la source, une domestication à la fois radicale et raffinée de la puissance industrielle brute, désarmée, rendue confortable, douce et sophistiquée. « Ce transfert n’a rien de nouveau. Le domestique quotidien est sans cesse pénétré par l’industriel qui n’est plus considéré comme un univers pénible, isolé, bruyant. Il est aujourd’hui naturel d’utiliser ces composants qui n’ont rien à envier au design »